jeudi 6 mars 2014

L’environnement : L’unique feuille de route des entreprises sénégalaises pour une relance durable de leur croissance.

S’obstiner à rejeté la focale environnement expose  les entreprises  à des risques incalculables.  A l’heure ou Le cycle du profit sec est en passe de se volatiliser dans le tissu industriel mondial.la prise en compte du développement durable au sein des organismes du Sénégal  s’opère à petit pas. Certains sont à un niveau élémentaire dans la politique de développement durable. Même si cet état de fait est à géométrie variable. Intégrant par compte goute les attentes des parties prenantes. On peut se demander pourquoi les entreprises sénégalaises sont en décalage par rapport à la focale environnement.

Qu’on ne se trompe pas d’objectif sur cette réflexion. Elle vise à faire comprendre aux entreprises que sans l’intégration de l’environnement, elles perdront tout caractère durable.

Président de la Ghana employer  association GEA, Terence DARKO confirme cet écart et observe que : "Il est important que les entreprises s'adaptent à l'évolution rapide du monde, d'autant plus que nos activités ont un impact de plus en plus transversal. Ce changement a de profondes implications pour les entreprises, et signifie que le monde de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) ou comment les entreprises répondent aux attentes de la société est au premier plan. Par conséquent, il est nécessaire de regarder l'évolution des tendances actuelles et leurs orientations."
L’ère ou L’économie se nourrit de l’environnement l’exemple de la SOCOCIM
  Pour  être persuadé que l’environnement est  la sève qui nourrit l’économie. Il suffit de se référer à l’historiette qui a opposé La société financière internationale (SFI) à la SOCOCIM.  Le département de la banque mondiale  a  exigé de  la cimenterie d’améliorer ses performances environnementales.  SOCOCIM  industries n’a pas eu mille et une solution a part fléchir pour bénéficier d’une subvention a hauteur de 20 millions d’euros ce qui donne 13 milliards 100 millions de nos francs (cfa)pour une réponse à la demande croissante dont elle fait face. 

 Il serait préjudiciable qu’une entreprise existe sans réaliser un bon chiffre d’affaire. Comme il est tout aussi crucial de considérer l’impact environnemental, l’intégration de l’environnement dans le système et la transparence de la politique environnementale au sein de l’entreprise. Trois critères sur lesquels d’ailleurs, le magazine hebdomadaire américain Newsweek s’est appuyé en 2011, pour publier le classement des entreprises les plus vertes.

Opter pour  l’environnement n’est pas juste une histoire de mécénat. C’est un moyen décisif pour s’adapter ou disparaitre .


                                                                                                           Pape Mbor
                                                                            
                                                                      
Consultant Junior Environnement TSE3P/Réd chef Quoi de vert?

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