S’obstiner à rejeté la focale environnement expose les entreprises à des risques incalculables. A l’heure ou Le cycle du profit sec est
en passe de se volatiliser dans le tissu industriel mondial.la prise en compte du
développement durable au sein des organismes du Sénégal s’opère à
petit pas. Certains sont à un niveau élémentaire dans la politique de développement
durable. Même si cet état de fait est à géométrie variable. Intégrant par
compte goute les attentes des parties prenantes. On peut se demander pourquoi
les entreprises sénégalaises sont en décalage par rapport à la focale
environnement.
Qu’on ne se trompe pas d’objectif sur cette réflexion. Elle
vise à faire comprendre aux entreprises que sans l’intégration de
l’environnement, elles perdront tout caractère durable.
Président de la Ghana employer association GEA, Terence DARKO confirme cet
écart et observe que : "Il est important que les entreprises s'adaptent à l'évolution rapide du
monde, d'autant plus que nos activités ont un impact de plus en plus
transversal. Ce changement a de profondes implications pour les entreprises, et signifie que
le monde de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) ou comment les entreprises
répondent aux attentes de la société est au premier plan. Par conséquent, il
est nécessaire de regarder l'évolution des tendances actuelles et leurs
orientations."
L’ère ou L’économie se nourrit de l’environnement l’exemple de la
SOCOCIM
Pour être persuadé que l’environnement est la sève qui nourrit l’économie. Il suffit de
se référer à l’historiette qui a opposé La société financière internationale
(SFI) à la SOCOCIM. Le département de la
banque mondiale a exigé de
la cimenterie d’améliorer ses performances environnementales. SOCOCIM
industries n’a pas eu mille et une solution a part fléchir pour
bénéficier d’une subvention a hauteur de 20 millions d’euros ce qui donne 13
milliards 100 millions de nos francs (cfa)pour une réponse à
la demande croissante dont elle fait face.
Il serait
préjudiciable qu’une entreprise existe sans réaliser un bon chiffre d’affaire.
Comme il est tout aussi crucial de considérer l’impact environnemental,
l’intégration de l’environnement dans le système et la transparence de la
politique environnementale au sein de l’entreprise. Trois critères sur lesquels
d’ailleurs, le magazine hebdomadaire américain Newsweek s’est appuyé en 2011, pour
publier
le classement des entreprises les plus vertes.
Opter pour
l’environnement n’est pas juste une histoire de mécénat. C’est un moyen
décisif pour s’adapter ou disparaitre .
Pape Mbor
Consultant Junior Environnement TSE3P/Réd chef Quoi de vert?
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