jeudi 6 mars 2014

Développement durable et communication : « Pour rendre intéressant le DD, il faudra en parler d’une façon terre à terre. »

Photo prise lors de la cérémonie de lancement
Avec Comme guelte la déclinaison  du DD dans le champ magnétique de la communication. Ce mardi 21 janvier 2014 au siège de la fondation Konrad Adenaur. Les panelistes Présidés par l’ingénieur Agroéconomiste Ibrahima SALL ont sorti de la moule les enjeux, les limites et les perspectives qui englobent les deux concepts.

Derrière la pluie  d’information dont le public est abreuvé, l’orientation des comportements  vers un virage environnemental tarde à germer. L’expert en communication  Ibrahima BAKHOUM explique cet état de fait par le manque d’intérêt que la problématique suscite, et observe que : « Pour rendre  intéressant le développement durable, il faut favoriser l’information de proximité et savoir en parler d’une façon terre à terre. »

Logique  d’opération soutenue par le principe 10 du sommet de Rio- de- Janeiro en 1992. Il appuie l’accès à l’information, la participation du public, et l’accès à la justice en matière d’information. Le challenge environnemental est jusque-là noyé  par l’énorme dossier qu’il représente. L’enjeu est réel. Les bonnes pratiques font légions et il faut les diffuser à l’heure des bilans et autres. Ce qu’il faut retenir, ce sont les leçons positives et trouver des moyens d’optimisation.

L’environnement ne peut pas se défendre tout seul. Il est urgent pour les citoyens de comprendre l’enjeu de la protection de celui-ci pour prendre la ou les bonnes décisions. Comme l’affirme la convention d’Aarhus. « Chacun a droit à un environnement propre à améliorer sa propre santé et son bien-être. Et le devoir de le protéger dans l’intérêt des générations présentes et futures. »

Pour l’expert environnement vieux FALL, l’idée reste de « se familiariser avec les concepts. » Et ce virage  tient à une évidence : « Comprendre la signification qui se cache derrière les termes RSE, Eco conception, Empreinte écologique, bilan carbone ... » Argue-t-il.  
 
Tout compte fait pour parvenir à cette rupture. L’interpénétration entre les experts des deux camps se doit d’être féconde. « Point de cristallisation nécessaire pour une perception efficiente du message que véhicule le développement durable. » explique le communicateur Moustapha SENE.


                                                                                                                                 Pape.Mbor
                                                                                                                        
                                                                                                                
 Consultant Junior environnement TSE3P/Réd chef Quoi de vert?

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